Magali de Prelle

“(…) Mention spéciale aussi pour la soprano belge Magali De Prelle, de retour sur la scène de l’ORW après sa récente Pamina : une voix pleine d’une fraîcheur qui sied parfaitement au personnage de Micaela avec, nonobstant des extrêmes aigus un peu trop souvent attaqués par le bas, une vraie puissance, vocale et dramatique.” (Micaela, Carmen) —  Nicolas Blanmont, La Libre Belgique

“(…) malgré une voix très corsée pour le rôle, Magali de Prelle campe une excellente Pamina (…)” (Pamina, La Flûte enchantée) —  Martine D. Mergeay, La Libre Belgique

“(…) Lediglich Magali de Prelle (Pamina) und Michael Spyres (Tamino) zeigen sich ihren Partien im Ausdruck zwischen Offenheit und Todessehnsucht, Empfindsamkeit und Heldenhaftem gewachsen.” (Pamina, La Flûte enchantée) —  Guido Rademachers, Aachener Zeitung

“(…) Côté solistes, ce sont notamment Tamino (Michael Spyres) et Pamina (Magali de Prelle) qui excellent.” (Pamina, La Flûte enchantée) —  Sebastian Seiffert, Goethe-Institut Brüssel

“(…) la Pamina de Magali de Prelle impose une réelle présence par son timbre plein et chaud, (…)” (Pamina, La Flûte enchantée) —  Céline Doukhan, Les Trois Coups

“(…) Agudin, qui a dirigé l'opéra bouffe en avril dernier à Besançon, y repère et engage les voix talentueuses de la soprano Magali de Prelle, une étonnante et grave Fiordiligi à la voix délicieuse (…)” (Fiordiligi, Così fan tutte) —  Gérald Chevrolet, Le Quotidien Jurassien

"(...) De la distribution on retiendra la Fiordiligi de Magali Prelle. Ses vocalises frémissantes, le timbre clair que vient assombrir de beaux graves soulignent les failles de ce personnage en quête d’une perfection impossible." (Fiordiligi, Così fan tutte) —  Monique Parmentier, utmisol.fr

"(...) Disons le tout de suite, cette représentation a été particulièrement marquée, dès la fin de l’acte I, par une Gilda aussi convaincante qu’éblouissante, interprétée par la soprano Magali de Prelle ; sa voix puissante aux multiples couleurs maîtrise parfaitement la partition (un très beau Caro Nome !) et sert admirablement bien, sans excès, les émotions de ce drame fait de passion, de trahison, d’amour filial et de vengeance, le tout sublimé par le décor du Palais du Luxembourg." (Gilda, Rigoletto) —  Christophe Bernard, utmisol.fr

"(...) Autant de sentiments exprimés magnifiquement par les plus belles voix lyriques d’aujourd’hui : Sergeï Stilmachenko ou Magali de Prelle notamment, qui le temps d’un soir jouent le père et la fille, faisant monter leurs voix impressionnantes au plus profond de la nuit. (Gilda, Rigoletto) —  vendee.fr

“Les seconds rôles sont dans l'ensemble bien tenus et tout particulièrement le duo Frasquita/Mercedes (Magali de Prelle/Karine Deshayes)... ” (Frasquita, Carmen) —  Olivier Lalorette, ClassiqueInfo.com

“(…), des Frasquita et Mercedes, dignes compagnes de Carmen (Magali de Prelle, Karine Deshayes) qui nous offrent un quintette époustouflant de verve,... ” (Frasquita, Carmen) —  Benito Pelegrin, benitopelegrin-chroniques.blogspot.com

“(…) Magali de Prelle a magnifiquement épanoui son instrument depuis son prix de chant de 2003. Son timbre séduit d’emblée par son fruité et sa fraicheur, mais elle tient aussi sans problème la distance dans ce rôle important, sachant évoluer avec son personnage.” (Ninetta, La Gazza ladra) —  Alain Zürcher, Operabase.com

“A l’opposé, la Juliette de Magali de Prelle, une fois passée une valse un peu précautionneuse, a gagné en assurance au fil des actes. La voix s’est progressivement élargie, la soprano se réalisant pleinement dans le lyrisme de l’Air du poison.” (Juliette, Roméo et Juliette) —  Alfred Caron, Opéra Magazine

“Magali de Prelle nutzt die zurückhaltende Partitur für eine eindrückliche Darstellung der Gräfin von Tripolis, sicher und stimmlich sehr ausdrucksstark erfüllt sie die Figur auch szenisch mit Leben. (…) Magali de Prelle verleiht der Verzweiflung von Clémence eine kribbelnde Präsenz.” (Clémence, L'Amour de loin) —  Steffen Kühn, Leipzig Almanach Kulurstagebuch

“Seine beiden Partnerinnen waren exzellent. (…) Magali de Prelle sang die üpigge Partie der Prinzessin mit ihren kniffligen, hochfliegenden Auszierungen wie eine Luftakrobatin auf Erdenurlaub.” —  Klaus Geitel, Berliner Morgenpost

“Unter den Solisten fiel (…) vor allem Magali de Prelle als Clémence auf, die ihre Partie mit weitem Ausdrucksradius versah und zu einer in der Neuen Musik seltenen Freiheit des Vortrags fand.” (Clémence, L'Amour de loin) —  Peter Uehling, Berliner Zeitung

“Un mot pour dire encore la qualité des seconds rôles : Balint Szabo (un moine), Magali de Prelle (Tebaldo), (…)” (Tebaldo, Don Carlo) —  Robert Pénavayre, Voix du midi

“(…) chantant face à la jeune soprano belge Magali de Prelle, Oscar vif-argent aux aigus d’une précision insolente.” (Oscar, Un ballo in maschera) —  Jacques Doucelin, Le Figaro

“Soprano au timbre très pur, Magali de Prelle ravit et émut le public en présentant deux visages de Juliette (Gounod et Bellini)” (Juliette, Roméo et Juliette) —  M. Tourmieux, Le Progrès